Sous-sol
Les grottes
Deux grottes naturelles existent dans le Turonien supérieur de Savonnières : la grotte du clos de la cure, au dessus de l'église et la grotte Gilles découverte en 1947, faisant partie des grottes pétrifiantes. La première est située à 70 mètres d'altitude alors que les grottes pétrifiantes s'ouvrent vers 55 mètres cette différence est une preuve du soulèvement du sous sol à Savonnières.
La grotte du clos de la cure
La grotte se trouve au dessus de l'église.
L'ouverture de la grotte est imposante, la salle d'entrée est suivit par un couloir étroit et trois autres salles difficiles d'accès.
La grotte du clos de la cure a fourni du matériel de de la fin de l'age du fer, fragments d’amphores, de céramiques, une lampe à huile et de nombreux os d’animaux brisés indiquant des reliefs de repas. L'âge du fer correspond aux sept derniers siècles avant J.C..
Cette grotte est souvent confondue avec les grottes pétrifiantes, qui sont en grandes parties des carrières de tuffeau. C'est ce qui c'est passé lors de la décision prise pour choisir la grotte qui ferait l'objet de fouille préhistorique, elle était en concurrence avec la grotte de la Roche Cotard à Langeais.
L'ouverture de la grotte est imposante, la salle d'entrée est suivit par un couloir étroit et trois autres salles difficiles d'accès.
La grotte du clos de la cure a fourni du matériel de de la fin de l'age du fer, fragments d’amphores, de céramiques, une lampe à huile et de nombreux os d’animaux brisés indiquant des reliefs de repas. L'âge du fer correspond aux sept derniers siècles avant J.C..
Cette grotte est souvent confondue avec les grottes pétrifiantes, qui sont en grandes parties des carrières de tuffeau. C'est ce qui c'est passé lors de la décision prise pour choisir la grotte qui ferait l'objet de fouille préhistorique, elle était en concurrence avec la grotte de la Roche Cotard à Langeais.
Les caves gouttières
Les caves gouttières sont connue depuis le XVe siècle, c'est une carrière souterraine d'origine gallo romaine recouverte de concrétions calcaires.
Bernard Palissy, vient à Tours en 1547 durant les « Grands jours de Paris », il rencontre Jehan de Selva, vicaire général d’Étienne de Poncher et abbé de Turpenay. C'est un homme instruit et ami des savants, il lui fait visiter les curieuses caves-gouttières de Savonnières, en le conduisant à son abbaye de Turpenay.
Bernard Palissy les cite ensuite dans son ouvrage « Recepte véritable par laquelle tous les hommes de France peuvent apprendre a multiplier et augmenter leurs thresors » édité à la Rochelle en 1563 .
Bernard Palissy, vient à Tours en 1547 durant les « Grands jours de Paris », il rencontre Jehan de Selva, vicaire général d’Étienne de Poncher et abbé de Turpenay. C'est un homme instruit et ami des savants, il lui fait visiter les curieuses caves-gouttières de Savonnières, en le conduisant à son abbaye de Turpenay.
Bernard Palissy les cite ensuite dans son ouvrage « Recepte véritable par laquelle tous les hommes de France peuvent apprendre a multiplier et augmenter leurs thresors » édité à la Rochelle en1563 .
Ensuite les Caves Gouttières sont inscrites sur toutes les cartes de la Touraine.
Au XVIIe siècle Jodocus Sincerus,voyageur Allemand, dans son « Voyage dans la vieille France » cite la grotte :
« La cave-gouttière, caverne située à deux lieues de la ville (Tours). Ceux qui la visitent doivent se munir de torches. Pendant l'hiver, elle est tiède ; en été, au contraire, il y règne un grand froid. On y voit distiller goutte à goutte une eau qui, dans sa chute se change en une pierre tellement dure qu'on peut à peine la briser à coups de marteau »
Bernard Palissy, vient à Tours en 1547 durant les « Grands jours de Paris », il rencontre Jehan de Selva, vicaire général d’Étienne de Poncher et abbé de Turpenay. C'est un homme instruit et ami des savants, il lui fait visiter les curieuses caves-gouttières de Savonnières, en le conduisant à son abbaye de Turpenay.
Bernard Palissy les cite ensuite dans son ouvrage « Recepte véritable par laquelle tous les hommes de France peuvent apprendre a multiplier et augmenter leurs thresors » édité à la Rochelle en 1563 .
Bernard Palissy, vient à Tours en 1547 durant les « Grands jours de Paris », il rencontre Jehan de Selva, vicaire général d’Étienne de Poncher et abbé de Turpenay. C'est un homme instruit et ami des savants, il lui fait visiter les curieuses caves-gouttières de Savonnières, en le conduisant à son abbaye de Turpenay.
Bernard Palissy les cite ensuite dans son ouvrage « Recepte véritable par laquelle tous les hommes de France peuvent apprendre a multiplier et augmenter leurs thresors » édité à la Rochelle en1563 .
Ensuite les Caves Gouttières sont inscrites sur toutes les cartes de la Touraine.
Au XVIIe siècle Jodocus Sincerus,voyageur Allemand, dans son « Voyage dans la vieille France » cite la grotte :
« La cave-gouttière, caverne située à deux lieues de la ville (Tours). Ceux qui la visitent doivent se munir de torches. Pendant l'hiver, elle est tiède ; en été, au contraire, il y règne un grand froid. On y voit distiller goutte à goutte une eau qui, dans sa chute se change en une pierre tellement dure qu'on peut à peine la briser à coups de marteau »
Réalisé par Histoire et Patrimoine de Savonnières © 2016 images et textes